On a tous le souvenir du Padre avec ses chaussures en filet et toile bricolant de son garage. Vous savez, les chaussures hybrides entre tennis en toile et espadrilles avec une fine semelle en gomme. À l’origine, le modèle a vu le jour dans les années 50, disséminé partout le long des côtes espagnoles de la Costa Brava à la Costa Blanca. Le mocassin du “senior” par excellence. On s’est d’ailleurs tous juré de bannir ces chaussures de la maison.
C’était sans compter sur les deux cousins les plus fadas de France : Dan Amzallag et Fabrizio Corveddu, qui se sont mis bille en tête de vouloir relancer la chaussure dont personne ne voulait plus. Une belle prise de risque et qui s’avère aujourd’hui une réussite totale. Coup de pouce du destin, ces chaussures n’avaient jamais été brevetées. Une aubaine. Ni une ni deux, nos deux fanfarons lancent la marque Rivieras, en référence aux vacances sous le soleil de la Méditerranée et au style vestimentaire chic et décontracté. Ils modernisent la forme et lui apportent de la couleur ; chaque style doit trouver sa paire de Rivieras. La communication est de toute beauté jouant sur les couleurs franches et les paysages de méditerranées. Le vintage a de l’allure.
Et pour changer l’image on invite au voyage en rappelant que «À marée basse comme à marée haute, pieds croisés ou pied au plancher, sur les pavés ou sur un tapis rouge, Rivieras dessine une marche entre la plage et la ville et reste fidèle à son manifeste : nuit blanche et plein soleil. Avec ses trois degrés de ventilation, 10°, 20° et 30°, la collection Classic s’adapte à chaque saison».
En cuir, en toile de denim, en toile de coton alvéolée façon résille, en couleurs naturelles ou flashy, pour les hommes comme pour les femmes, il existe des Rivieras pour tous les goûts. De la côte, les Rivieras voyagent en ville. Elles deviennent branchées, basses ou montantes et côtoient le jean slim et le bermuda pour un tarif s’échelonnant de 60 à 110€.
Rivieras est désormais disponible dans plus de 500 points de vente en Europe et dans 300 autres répartis entre le Japon, la Corée, la Chine, les Etats-Unis, le Canada et l’Australie… Les mocassins en toile ressortent du placard en version chic et branchée et s’imposent comme les chaussures de l’été.
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