Un James Bond ne peut se départir de ses James Bond Girls qui dotées de noms improbables contribuent à l’ en-grivoisé ! Leurs patronymes très travaillés recèlent un sens caché que n’aurait pas renié l’agent français OSS 117 lui-même !
L’auteur Ian Fleming, dont le machisme était aussi démesuré que l’ego et la passion pour l’or d’Auric Goldfinger, avait une conception de la femme idéale très 50’s : “Elle doit savoir faire la béarnaise aussi bien que l’amour, avoir une bouche à damner un saint. Un corps parfait. Et naturellement un grand sens de l’humour, de l’élégance et une dextérité convenable aux cartes.” Avis aux amatrices !
Aussi jolies que venimeuses, certaines d’entre elles ont construit leur légende cinématographique au travers de leur opus 007.
Ainsi, la divine Ursula Andress dans Dr No en 1962, porte le nom de Honey Rider, la chevaucheuse de miel. Une douce suggestion comparée à l’actrice Honor Blackman qui lui succède deux ans plus tard dans le rôle de la coriace Pussy Galore (Goldfinger) et qui se traduit par Chatte à Gogo !
Lorsque James Bond revient en 1971 dans Les Diamants sont éternels, la plantureuse Lana Wood (en haut de page), petite sœur de Natalie Wood, interprète Plenty O’Toole, devenue Abondance De La Queue dans la version française. De solides arguments.
Un nom aussi facile à porter que Holly Goodhead qui signifie Sacrée bonne pipe (Moonraker, 1979) de quoi ragaillardir un Roger Moore au taquet.
Mary Goodnight, l’équivalent de Marie-couche-toi-là apporte son vent d’érotisme dans L’Homme au pistolet d’Or en 1974.
Dans le Goldeneye de 1995, Xenia Onatopp, en levrette pour les connaisseurs, dont la spécialité est d’asphyxier ses amants en les étreignant entre ses cuisses prend le pouvoir. Changement d’époque ! Difficile pour Pierce Brosnan de renverser la situation…
Finalement Halle Berry ne s’en sort pas trop mal dans Meurs un autre jour en 2002 en jouant le personnage de Jinx-La Poisse ! Si ce n’est pas le meilleur James Bond, on y aimerait bien s’y coller tout de même.
[…] de la Gazette. Et pourquoi lui ? On adore ses noeux pap’ et ses chaussures en or comme Auric Goldfinger. Pilote de la Caterham Academy on s’est dit, ici, qu’avec son âme d’artiste on […]
[…] avec Embrasse-moi, idiot, Les Quatre Fils de Katie Elder, la série des Matt Helm, parodie de James Bond, ou encore Cinq cartes à […]
[…] première mise en condition nous pousse vers la deuxième pièce scénographiée, avec le corps de Jill Masterson alias Pussy Galore, intégralement repeint d’or, référence à une scène mythique de […]